– Un printemps exceptionnellement humide jusqu’au 15 juin.
– Un été et un automne exceptionnellement sec et ensoleillé.
Tous les ingrédients pour plaire à la vigne et au vigneron.
Malgré la sécheresse de juillet, août et septembre, la vigne grâce à son enracinement qui descend très profondément, n’a pas souffert.
Et les vendanges qui ont commencé le 5 septembre par le pétillant naturel et le Noble Joué se sont déroulées sans stress (ce qui est rare) jusqu’au 30 octobre pour les derniers tris de Malvoisie.
Le résultat nous a donné des raisins excessivement chargés en sucre avec des niveaux rarement atteint dans la vie d’un vigneron. Après vinification nous avons pour les vins secs, des degrés de 13.2° à 15.2 ° et pour les Malvoisie nous avons 3 cuvées qui vont de 84 à 135 grammes de sucre résiduels.
Les cuvées de printemps ont une rondeur naturelle en bouche incroyable qui les rendent très facile à boire malgré la puissance et la persistance aromatique.
Les cuvées en cours d’élevage demandent un peu de patiente pour prendre tout leur potentiel, ils seront des vins de garde tout en gardant la possibilité d’être dégustés relativement jeune grâce à ses raisins surmûris.